Fleurus d'Algérie (1848 - 1962)

Forum fleurusien

 

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139. Khadra Halhal (8/4/13)

Bonjour Marie-Claude

Je m'empresse de lire tous les messages du forum des Fleurusiens parce que je suis de Fleurus : je n'habite plus le village mais je m'y rends très souvent. La semaine passée je suis entrée, je vais dire "chez toi", parce que je connais la dame qui l'occupe, c'est elle qui m'a appris ta venue à Fleurus.

Ma mère connaissait très bien ta maman. Souvent elle nous disait "j'étais chez Jeanne Beaudet." Tous les noms qui sont cités dans les différents messages ne me sont pas étrangers.

Tu viens le 27 avril à Fleurus : j'aimerais bien te rencontrer et revivre des souvenirs d'une enfance que je n'oublie pas. Je t'embrasse bien fort et à bientôt.

138. Bernard Assié (7/4/13)

Bonjour à tous

Un petit mot pour vous dire que je serai à Nîmes les 8 et 9 mai et pas besoin de vous dire combien je suis impatient de vous retrouver... même si je sais que cette "épreuve", au delà de la joie que vous devinez, sera aussi empreinte de souvenirs merveilleux et plus pénibles aussi ! A tous ceux qui mentionnent souvent le nom de "leur maître d'école", qu'ils sachent que ce dernier qui vient de fêter ses 91 ans le 17 mars, dans ses moments de lucidité, se rappelle parfaitement beaucoup d'entre vous... et son Fleurus !

A bientôt donc pour ces retrouvailles et encore merci à l'ami Christophe...

137. Marie-Claude Perrot-Sirjean (6/4/13)

Bonjour à tous et j'espère que tout le monde a passé de bonnes fêtes de Pâques.

Tout est prêt pour nos retrouvailles le 8 mai au soir à Nîmes ? Venez nombreux et on s'occupe du panneau FLEURUS pour le 9. Et n'oubliez pas de joindre directement le restaurant pour vous inscrire. Pour info, du 27 avril au 2 mai, je serai loin... et oui, en Algérie et bien sûr à Fleurus ! donc, le 8 mai nos souvenirs de là-bas seront bien présents. Un grand coucou aux Mendiéla ! contente d'avoir de vos nouvelles enfin. Ma sœur Colette qui était amie avec Danielle, sera des nôtres pour l'Ascension.

Amicalement à tous et à très bientôt.

136. Guy Mendiéla (24/3/13)

Je suis fleurusien, né en 1947. J'ai appris l'existence de ce site il y a environ 1 an par mon cousin Yves mais, aujourd'hui, je réagis à la lecture d'un certain nombre de messages qui lèvent un voile sur des souvenirs enfouis.

Celui de Pierre Folacci, bien sûr, un ami chez qui j'ai passé beaucoup de temps. Je me souviens de son père, sévère (il devait avoir des raisons de nous vilipender), de sa mère qui nous couvrait un peu, et bien sûr de son frère, Michel, plus «petit », mais ô combien turbulent ! Je les revois comme s'ils étaient en face de moi. Pour Pierre : je réside en région parisienne, à Sucy-en-Brie (94) depuis 1974 après avoir passé ma jeunesse à Perpignan et fait mes études à Montpellier. Peu après mon arrivée en RP, j'avais appris, je ne sais plus comment, que tu étais cadre dans une banque des grands boulevards (le Crédit Lyonnais je crois). Quant à moi, je suis en retraite depuis peu, après une carrière au ministère de l'Intérieur.

Celui de Marie-Claude Perrot-Sirjean (que je salue au passage, ainsi que sa soeur Colette) par laquelle j'apprends avec une grande tristesse qu'Aimée Martinage nous a quittés. La douce Aimée de mon enfance. Avec André, pourtant un peu plus jeune, nous formions un trio complice et j'avais un réel plaisir d'être avec eux. Et leurs parents, chaleureux et bienveillants, pour qui j'avais une réelle affection. Je n'ai jamais oublié les gâteaux que nous faisaient leur mère pour goûter, ni la complicité de leur père, Henri, quand ma mère m'avait envoyé pour qu'il lui fasse un martinet (allez donc savoir pourquoi !), ce que j'ai fait benoîtement car elle surveillait du coin de la rue que je rentre bien dans la bourrellerie.

Je vois aussi des noms qui éveillent en moi des souvenirs. Ceux de nos copains d'école, comme Lechlech (Ahmed), qui continuent à assurer le lien avec une grande complaisance, et une non moins grande fidélité. A ceux-là particulièrement, que je salue aussi, je souhaite confier un message : faire part à la famille Hamida qui avait gardé le contact avec mes parents (Joseph et Cécile), de la chaleureuse amitié qu'ont ressenti pour eux mes parents aujourd'hui décédés, et ma profonde reconnaissance. Je me souviens personnellement du père Hamida, c'était « quelqu'un de bien ».

Je vois aussi des noms d'amies de ma sœur Danièle qui, malheureusement, nous a quittés en 1982, ainsi que des copains avec qui mon frère (Jean-Paul) a du faire les 400 coups ! Et nos cher (M. Weber) et moins cher (M. Defoly) instituteurs. Et M. Assié, un humaniste. Et mes autres amis, les Bérino (Micheline et Francis), les Martinez (Claude et Serge). Et Denis Puech. J'ai quand même l'impression que, quelque part, ma mémoire me fait quand même un peu défaut... Enfin, à Ulysse Martinez mon « cousin » parmi mes cousins, je pense à vous, et à nos très chers disparus.

Bien cordialement à tous, Guy

135. Yves Mendiéla (23/3/13)

Bonjour,

Je visite le site depuis plus d'un an, et je prends enfin le temps de vous envoyer ces quelques mots.

Je suis né à Fleurus en 1948, fils de Reine Marguerite Oliver,et de Marcel Mendiela. Depuis notre depart obligé, j'ai toujours vécu dans les Pyrénées orientales, d'abord à Perpignan, puis à Canet en Roussillon, où j'ai pris ma retraite, aprés avoir travaillé 30 ans dans une banque comme commercial. Je suis marié et j'ai un fils.

Voila, pour une première approche. Je serai parmi vous à Nimes pour le repas des Fleurusiens, et c'est avec grand plaisir que je retrouverai mes copains de la communale, Claude Belmonte et Pierre Folacci. A très bientôt.

134. Marie-Claude Perrot-Sirjean (15/3/13)

Un grand bonjour à tous les Fleurusiens et Fleurusiennes, de France et d'ailleurs !

Je me permets de "revenir à la charge" concernant nos retrouvailles pour l'Ascension à Nîmes. Juste une précision : ceux qui sont d'accord pour se joindre à nous pour le repas du mercredi 8 mai au soir, je vous rappelle qu'il faut que vous appeliez directement le restaurant pour confirmer votre venue, en précisant que vous faites partie du groupe de Fleurus. Prix du menu : 39 euros (vin et café compris). Voir sur ce site à la rubrique "Nîmes 2013" l'adresse du restaurant et le numéro de téléphone. Venez nombreux, ça fera du bien à tous.

Amicalement

133. Jeanny Boyer (12/3/13)

Je viens d'avoir Armande au téléphone. Elle est très contente des gentils messages, qu'elle transmet à Juliette. Elle est très contente aussi du coup de fil et des photos transmises par Jo Carmona. Elle est heureuse que ce site existe et que j'y dépose des messages ! (Elle n'a pas internet mais je transmets !)

A bientôt

131. Danielle Vivier-Diaz (10/3/13)

Je souhaite un bon anniversaire à ma tante Juliette, sœur de mon père Antoine Diaz.

J'embrasse toute la famille Boyer et Garcia.

130. Ulysse Martinez (10/3/13)

Je souhaite un joyeux anniversaire à Juliette Garcia, cousine germaine de ma mère Carmen Martinez, née Diaz.

Et un grand bonjour aux familles Boyer-Garcia.

129. Christophe Campos (10/3/13)

Je retransmets un message d'André Santacruz, avec qui je suis de temps en temps en contact. Il est de 1924, fils de Francisco Santacruz et de Juliette Theil. Il a quitté le village pour Oran après la mort de son père, début des années 1930, mais on l'a revu à une fête du village de 1946 ou 1947 en magnifique uniforme de Spahi.

Il n'est pas en assez bonne santé pour se déplacer à Nîmes, mais il envoie ses souhaits à nous tous. Il n'a pas accès à internet, mais aimerait bien recevoir un coup de fil de ceux qui se souviendraient de lui. Je crois que si par hasard il y avait parmi eux la personne qui a tant dansé avec le beau spahi à cette fête, cela lui ferait particulièrement plaisir... Il habite Lure (Haute-Saône) et son numéro de téléphone est dans l'annuaire.

Et bon anniversaire à Juliette Garcia-Diaz ! Est-elle la doyenne du village, ou y a-t-il d'autres candidates ? Ma tante, Ginette Auguste-Campos, la suit à seize mois, et me dit qu'elle consulte son livret de famille à chaque anniversaire, n'arrivant pas à croire qu'elle a cet âge.

128. Jeanny Boyer (6/3/13)

Bonjour,

Je suis l'épouse d'Alain Boyer, fils d'Armande Garcia de Fleurus et donc petit-fils de René Garcia et de Juliette née Diaz, qui étaient épiciers à Fleurus. Ma belle-mère parle souvent de son village et de sa jeunesse en Algérie. Elle me prête régulièrement l'Echo de l'Oranie où j'ai vu les coordonnées de ce site super!

Juliette va fêter ses 95 ans ce dimanche 10 mars 2013! Armande était institutrice et elle s'est mariée avec Lucien Boyer de Saint-Cloud ou Pont de l'Isser, j'avoue avoir un trou...

Merci de m'avoir lue! Amicalement.

127. Khadra Halhal Cf message 63 (4/3/13)

Bonjour Viviane

La mémoire nous fait un peu défaut mais dès qu'on entend un nom et un prénom cela revient très vite et un tas de souvenirs s'affiche devant nous. C'est ce qui s'est passé pour toi, Viviane : des souvenirs de classe avec madame Defoly.

Cela m'a fait beaucoup plaisir de te lire. Mes amitiés à tous les Fleurusiens.

126. Christophe Campos (3/3/13)

Quelques renseignements sur l'activité sur notre site durant le mois de février. (J'avais mis en place un Google analytics en début de mois.)

Nombre de visites : 1103... Nombre de visiteurs : 398

Pays d'origine des visites : France 83%...Algérie 9%....Espagne 1%....Autres Europe 2%....Amérique du nord 4%

Pages visitées : Forum 90%....Album 10%....Plans du village 10%....Réunion Nîmes 15%....Photo du mois 6%.... Extrait du mois 2%

125. Jean-Pierre Wéber (28/2/13)

Grâce au forum les frères Folacci sont revenus parmi nous, et je les salue avec grand plaisir ; je pense que mes parents et les leurs se voyaient régulièrement en dehors de l'école, et j'ai quand même de nombreux souvenirs avec Pierre et Michel, surtout chez eux, souvenirs avec des temps très présents et d'autres plus flous.

On se quitte à l'enfance et on se retrouve à la retraite, et toutes les pages enfouies de notre passé fleurusien se remettent à tourner dans un grand livre de bonheur.

Après Martine Defoly et Bernard Assié, Pierre et Michel Defoly, ce livre pour moi devient presque complet. Il est clair que j'aimerais que l'on puisse tous se contacter, et à défault de visu, au moins par messagerie ou téléphone. (Chistophe a mes coordonnées)

124. Marie-Claude Perrot Sirjean (25/2/13)

Un coucou particulier aux deux frères Folacci (Pierre et Michel) dont j'avais complètement perdu la trace depuis toutes ces années ! Merci à Christophe de m'avoir communiqué l'adresse mail de Michel à qui j'ai écrit longuement ! Pierre, si tu veux mes coordonnées, tu passes par ton frère.

Comme vous dites, on croit que tous ces souvenirs sont enterrés dans un petit coin de notre tête, et un jour, un déclic, l'âge aidant ? tout remonte et l'on ressent le besoin pressant de reparler à tout le monde, d'avoir des nouvelles et de revoir les endroits de notre enfance.

Retour aux sources pour moi l'an dernier avec Marie-Antoinette Pérez et nos conjoints, voyage plein d'émotions et de souvenirs qui remontent mais qui font tellement de bien ! Donc, si vous en avez envie, juste un petit conseil, n'hésitez pas et retournez à Fleurus, on y est très très bien reçu partout et ça fait très très plaisir même si tout a changé bien sûr.

Amitiés fleurusiennes à tous, et n'oubliez pas, rejoignez nous à Nîmes pour l'Ascension si vous le désirez (voir encart dans ce sens sur le site).

123. Telli Hasseni (24/2/13)

Bonsoir Mr Pierre Folacci

Je suis le fils de Telli Hasni et si vous voulez savoir quelque chose n'hésitez pas à demander car mon père me parle souvent de vous. Je crois que mon frère aîné a rendu visite à ton père et qu'il a été accueilli par ton frère. Je crois qu'il était gendarme ?

Merci de me lire et à bientôt

122. Daniel Pérez (24/2/13)

Bonjour, je suis Daniel, fils de Pierre Pérez dit Périco et de Pilar Diaz, né a Fleurus. Frère de Marie Antoinette Perez épouse Laurent.

J'aimerais entrer en contact avec Puech Denis car j'ai pu voir sur ce site qu'il me recherche. Je suis ravi de la connaissance de ce site afin de correspondre avec les Fleurusiens et Fleurusiennes. A bientôt.

121. Pierre Folacci (23/2/13)

Mon frère Michel vient de n'annoncer la découverte de ce site sur Fleurus. Il faut seulement quelques secondes pour être envahi par tant de souvenirs bien bien enfouis et réfréner des larmes, parce que comme beaucoup d'autres, je n'ai pas eu le temps de dire au revoir. Merci à son initiateur.

Quelques nouvelles: je vis à Chatou dans les Yvelines, marié avec une femme extraordinaire, de nationalité anglaise. Je viens de prendre ma retraite après avoir été un banquier d'affaires pendant près de 30 ans, et j'ai deux enfants. Comme bien d'autres dans ce Forum, il est difficile d'oublier Mr Assié, Weber, Defoly, Mme Santacruz, nos charmants épiciers Kammerer et Nicolas, etc... Je serais très touché d'avoir des nouvelles de tous et plus particulièrement de mes copains de classe comme Guy et Yves Mendiéla, l'ami Belmonte, ou encore des nouvelles de la famille Telli que mon père appréciait tant, et Mohamed, l'ouvrier de la ferme.

Faites-moi signe, c'est tellement bon de retrouver un peu de ses racines.

120. Michel Folacci Réponse aux messages 49, 48, 47, 44, et 14 (22/2/13)

Bonjour à Marie Claude Perrot-Sirjean, Jean-Pierre Wéber, Pascal Hinojo.

Ma recherche d'André Martinage m'a fait atterrir sur le site de Fleurus. C'est avec grand plaisir que jai lu les messages. Bonjour à tous du Texas !

Parti pour le continent américain depuis 1972, toujours avec la mélancolie de ma jeunesse... Marie Claude, merci de tes mots et souvenirs... Pascal tant de temps, je pense que tu parles (message 48) de Pierre, il est à Paris. Jean-Pierre, j'ai tellement entendu parler des Wéber...

Pouvez vous me mettre en contact avec André Martinage ? Nous sommes tous partis ensemble en 62 pour Draguignan, la vie nous a séparés, les souvenirs restent... Merci pour le site.

119. Brahim Abdallah Réponse aux messages 117 et 118 (22/2/13)

Voici ce que je peux donner comme précisions à propos des fermes Masson. La ferme Masson à laquelle vous faites allusion appartient à M. Hector Masson. La ferme Martial Masson se trouve effectivement entre Legrand et Fleurus, par contre celle d'Hector Masson se trouve derrière la ferme de Houcine.

118. Christophe Campos Réponse au message 117 (16/2/13)

Bonjour Houcine,

A ma connaissance, il n'y avait pas de "ferme Masson" à la sortie du village vers Hassi-Ameur. Martial Masson avait une ferme sur la route de Legrand / Hassi-Ben-Fréah, ferme qu'on appelait "ferme Gachet" (car elle avait été construite par Paul Gachet, marchand de matériaux de construction à Oran, pour exploiter une carrière de gypse). La famille Masson, que j'ai interrogée, n'en a pas de souvenir non plus.

Par contre, il est possible que Martial Masson ait possédé et vendu à votre père le terrain en question, et que celui-ci y ait construit des bâtiments. A Fleurus, les terres passaient très fréquemment de main en main. Votre père aurait ensuite pu y construire des bâtiments de ferme. Les ventes de telles terres étaient souvent enregistrées au bureau des hypothèques, car l'acheteur empruntait de l'argent avec le terrain en gage. Les archives des hypothèques ont été reprises par le gouvernement algérien au moment de l'indépendance, donc une piste possible pour vous serait de voir si ces archives existent encore à Oran. Elles n'ont pas été rapatriées en France, donc je n'y ai pas accès.

Le lot de terrain en question, qui s'étendait jusqu'à la limite communale avec Assi-Ameur (là où la route fait un léger coude vers la gauche) portait le numéro 358 dans le plan de Fleurus. Le seul propriétaire que je lui connais est Jean Philippe (de 1849 à 1875) mais cela ne vous sera d'aucune utilité pour la suite car sa famille a quitté le village en 1860 pour Aïn Temouchent. Entre parenthèses, votre père a eu du courage d'y faire des cultures maraîchères, car c'est un terrain pierreux et assez sec, plus propre au pâturage.

Si par hasard je tombe sur d'autres renseignements, je vous en ferai part.

117. Houcine Bachir (10/2/13)

Bonjour,

Je suis très heureux d'avoir accidentellement pris connaissance du site, qui nous éveille au passé à Fleurus (une sensation asez particulière). Je m'adresse à vous ainsi qu'à Brahim Abdallah et Hasni Telli, qui nous connaissent bien nous autres Marocains qui habitaient à la "ferme Masson" à la sortie de Fleurus sur la route de Hassi Ameur. Elle était immédiatement à gauche en mitoyenneté avec le chemin de fer. En face, il y avait une autre ferme qu'on appelait à l'époque "la ferme de Zouaoui."

Je suis soucieux de connaître les anciens propriétaires de cette ferme, qui est actuellement à l'abandon. Mon père l'a achetée vers 1945, et y a exercé l'activité d'agriculeur et de maraîcher. On avait aussi un élevage bovin. J'étais jeune, on a quitté Fleurus en 1968. Notre défunt père n'a pas vendu cette ferme, et on est à la recherche des anciens propriétaires pour remonter jusqu'à celui qui lui a vendu la ferme. On entendait dire que M. Martial Masson avait un lien avec la ferme.

Merci d'avance pour votre aide. Sincères salutations.

116. Danielle David-Moisset Réponse au message 115 (6/2/13)

Bonjour Brahim,

Je me souviens très bien que mon père avait un ouvrier qu'il appelait Abdallah. C'était un des plus anciens et il l'appréciait beaucoup. Votre maison, je passais devant quatre fois par jour pour aller à l'école, donc je m'en souviens bien. Merci pour ces souvenirs qui me rappellent une enfance heureuse à Fleurus.

Amitiés, et à bientôt.

115. Brahim Abdallah Voir messages 106 à 111 (29/1/13)

Bonjour, je suis chez mon copain Mohamed Ichou et je profite de son micro pour rafrîchir la mémoire de Danielle Moisset. Mon père a travaillé chez votre père et nous étions voisins. Notre maison était la dernière du douar et nous avions à l'époque un grand jardin cloturé d'épines et planté en figuiers (8 ou 9 arbres). D'ailleurs j'ai le même âge que le frère de Khadra, Abdelkader qui est né le 04/04/1947. Après la fabrication du plâtre à base de gypse il y a eu la transformation de palmiers nains en crin végétal pour les paillasses. Cela nous fait énormément plaisir, à Ichou et à moi, de voir que ce coin fleurusien grossit de jour en jour.

A bientôt les Fleurusiens.

114. Marie-Claude Perrot-Sirjean Réponse au message 113 (27/1/13)

Un grand bonjour de France de notre part et merci pour ce message. Je pense que c'est vous que j'ai vu avec votre père, car nous sommes retournés à Fleurus en juin 2012 et avons fait le tour du village avec Brahim. C'est votre grand-père qui tenait l'épicerie derrière l'église ? Moi, j'habitais en face de l'église (famille Sirjean - Beaudet). Je suis née en 1949. Au plaisir de vous revoir, j'y retourne cette année avec mon mari et mes enfants qui veulent connaître Fleurus.

Amitiés à vous et à tous les Fleurusiens.

113. Larbi Lechlech (21/1/13)

Bonjour, C'est avec plaisir que je lis tous les messages de ce forum dédié à Fleurus.

Mon père, Ahmed, est né à Fleurus en 1948. Mon grand père, Larbi (1896 - 1980) et mon arrière-grand-père, Ahmed (1860 -1962) ont vécu à Fleurus.

Notre maison actuelle est située sur l'îlot N - 5 et 6.

112.Christophe Campos (18/1/13)

C'est le moment de laisser Danielle et Khadra continuer entre elles en dehors du site grâce à ce contact inattendu. Mais on espère qu'elles nous donneront un de ces jours une sélection de leurs meilleurs souvenirs ravivés.

111. Danielle Moisset-David (18/1/13)

C'est avec un grand bonheur que j'ai lu le message de Khadra Halhal. J'en ai pleuré moi aussi. Que de souvenirs heureux de mon enfance à la ferme ! Mes camarades de jeux étaient Khadra, ainsi que ses frères et sœurs. J'avais beaucoup d'affection pour ses parents. Sa maman, qui faisait de si bons gâteaux...

Amitiés à tous.

110. Khadra Halhal (17/1/13)

Bonjour et bonne année à tous les Fleurusiens et Fleurusiennes.

Je suis née à Fleurus, ainsi que mes parents.

Je voudrais que Danielle Moisset lise mon message, parce que c'est avec elle et ses parents que nous /mes parents mes frères et sœurs avons passé une grande partie de notre enfance. Voici un souvenir que je n'oublierai jamais : au moment de noël, madame Moisset et monsieur Albert Moisset nous demandaient de déposer nos souliers au bas du sapin qui se trouvait dans leur salle à manger ; le lendemain combien était grande notre joie, chacun de nous avait son jouet.

J'ai les larmes aux yeux, je salue et j'embrasse tous les Fleurusiens.

109. Danielle Moisset-David Réponse au message 107 (13-17/1/13)

Je ne pense pas que mon père ait planté de l'alfa. Il exploitait deux carrières de gypse et fabriquait le plâtre. Il y avait aussi quelques hectares de vignes. Ce sont peut-être les frères Sévilla, qui ont racheté la propriété en 1954, qui ont planté de l'alfa.

A bientôt, amitiés à tous.

107. Christophe Campos Réponse au message précédent (10/1/13)

Bonjour Danielle, bienvenue sur le site. Rassurez-vous, tout le monde n'a pas la chance d'êtré né à Fleurus, et on y a toujours été très accueillants...

Je ne sais pas si vous avez des dons de télépathie, mais votre message est arrivé de façon miraculeuse au moment même où, occupé à mettre en forme le chapitre 10 de mon livre (qui traitera en partie du plâtre) je ne voyais pas comment situer la carrière Moisset par rapport aux autres, dont la carrière Bosc (antérieurement Ros). Vous avez fait le lien ! Effectivement, la carrière (et la ferme) Bosc se trouvaient au delà du premier chemin d'exploitation après le cimetière. Je suppose que la "ferme" est le bâtiment blanc qu'on y distingue, entourée de jeunes cyprès. Je ne sais pas si, au-delà et un peu plus loin sur l'escarpement, derrière la masse de lentisques, la deuxième carrière qu'on distingue en était une extension. En tout cas, le chemin bordé d'arbres qui part de la route de Legrand encore plus loin menait à la carrière Gachet, exploitée jusqu'en 1928, et à la carrière Lopez (mon arrière grand-père) qui s'est épuisée vers 1935.

Si mes souvenirs sont exacts, votre père avait également planté de l'alfa derrière la carrière au cours des années 1950 ?

106. Danielle Moisset-David (10/1/13)

Bonjour, et bonne année à tous les Fleurusiennes et Fleurusiens. Je ne suis pas née à Fleurus, mais j'y ai passé toute mon enfance, et j'en garde un très bon souvenir.

Mes parents avaient une plâtrière au-dessus du village, après l'école et le douar. C'était l'ancienne plâtrière Bosc. Mon père en avait hérité de son oncle. Elle a fonctionné jusqu'en 1954. Sur la photo du mois de janvier, il me semble la reconnaître car elle était entourée de cyprès.

J ai retrouvé avec bonheur des amies d'école, et nous sommes toujours en relation. Merci à M. Campos pour ce site, et à bientôt pour correspondre avec des personnes qui me reconnaîtront.

100. Telli Hasseni (28/12/12)

Bonsoir,

Je souhaite bonne année à tous les anciens Français de Fleurus. Je dis tout sur ce forum à mon père Hasni, et il le trouve formidable. Il se souvient de tout et il passe le grand bonjour a tout les anciens de Fleurus. Si vous faites une virée à Fleurus, soyez les bienvenus chez la famille Telli.

99. Jean-Pierre Sévilla (24/12/12)

Très heureux d'avoir retrouvé ma maison natale îlot H 1 bis je remercie tous ceux qui font des recherches sur le Fleurus que nous avons connu.

J'en profite pour souhaiter de joyeuses fêtes de noel et mes meilleurs vœux pour l'année 2013 à tous les Fleurusiens, connus et inconnus. Bonjour à tous les Fleurusiennes et Fleurusiens...

98. Lydie Mestre (21/12/12)

Bonjour à tous les Fleurusiennes et Fleurusiens,

Je suis la veuve de Mestre Henri (Riri). C'est avec joie et émotion que je lis tous vos messages. J'ai vu la photo de classe élémentaire de 1940 à 1942 (Mlle Pochet). Riri est en partant du haut à gauche, le premier de la deuxième rangée. Il porte un chapeau et tient la main de sa petite fiancée. Je n'ai vécu que 6 ans à Fleurus, dans la maison de Fifine Tribaudeau. Malgré ce temps court je continue a me rappeler tous les Fleurusiens. C'est avec joie que je participerai à des retrouvailles. Tenez-moi donc au courant si une quelconque rencontre devait avoir lieu.

Joyeuses fêtes, amicalement.

(NB. Mme Mestre permet que je communique son adresse mail par Tam-tom. CC)

95. Marie-Claude Perrot-Sirjean cf message 86 (8/12/12)

Un grand bonjour à tous mes amis Fleurusiens !

J'avais émis cette idée de rencontre pour le jeudi de l'Ascension 2013 mais c'est peut-être un peu tôt pour vous tous qui êtes certainement dans l'organisation des fêtes de Noël et de Fin d'Année ! J'en profite pour vous présenter à tous, et un peu à l'avance, mes Voeux les meilleurs pour cette année à venir, beaucoup de bonnes choses et surtout la santé !

Courant janvier ou février, si personne ne s'est manifesté auprès de Christophe, je me permettrai peut-être de vous "relancer" pour ce projet. Quant au fait de rencontrer des personnes qui habitent dans ma Région, je suis tout à fait favorable à cette idée et vous pouvez me contacter sans souci. Je peux, aussi, me déplacer car j'ai tout mon temps maintenant, avec la retraite ! Bonnes Fêtes à tous et bonne rencontre entre Christophe et Jo !

91. Marie-Claude Perrot-Sirjean Réponse à Jean-Pierre Wéber (message 89) (28/11/12)

C'est sûr que c'est le meilleur moyen de se revoir, de discuter de Fleurus et d'autres communes de "notre Pays" ! Si ce n'est pas possible pour l'Ascension, nous pouvons peut-être prévoir cette réunion à un autre moment de l'année, pourquoi pas ? Personnellement, j'habite en Haute-Savoie et je suis prête à revoir ceux qui seraient intéressés ! Christophe peut communiquer mes coordonnées sans problème aux Fleurusiens !

Quelqu'un saurait-il où habitent les Folacci ? (Pierre et Michel).

Amicalement à tous et, à l'avance, passez de Bonnes Fêtes de Noël et de fin d'année.

88. Antoinette Pérez (23/11/12)

Bonjour à toutes les personnes qui lisent FLEURUS.

Je suis Marie Antoinette Pérez, fille de Pillar Diaz et de Pierre Pérez, petite-fille et nièce des coiffeurs Diaz. J'habitais à côté de chez Mme Belmonte, avec mes freres Jean Pierre, Alain, René Claude, Daniel et Robert. Nous avons quitté l'Algérie le 6 août 62, personnellement je n'avais pas dit « au revoir » à Fleurus et cela me manquait.

Depuis des années, entre l'envie et l'appréhension, nous avions, avec Marie Claude Sirjean et nos maris, projeté de revenir, mais le temps est passé … enfin en juin 2012 avec Marie Claude, Marie Paule Gaunet et nos maris nous avons franchi le grand pas. Avec l'aide de Raymond qui organise ces voyages, nous nous sommes retrouvés tous les 6 à l'hôtel à Oran. Avec Othmane, notre guide taxi d'Oran, nous avons retrouvé Fleurus, là, Brahim nous attendait et ensemble nous avons marché dans toutes les rues de Fleurus. Nous avons retrouvé « nos Maisons » avec leurs habitants qui nous ont accueillis et fait visiter « leur Maison » et toujours avec gentillesse et générosité, un verre et des petits gâteaux terminaient la visite.

Quel bonheur de se retrouver au millieu de ce que fut notre enfance, les anciens venaient nous rencontrer et nous parler du passé, le fils du boucher, le fils d'Aîcha... tous se souvenaient de notre famille, des uns et des autres qui habitaient ici et là. Très émouvant quand je suis rentrée dans la maison de mon grand pére Diaz le coiffeur, ces escaliers qui ont marqué mon enfance, dans la maison de Marie Claude, dans la cour à coté de chez Belmonte, là ou nous vivions, l'accueil de Fatima et de ses enfants, beaucoup de souvenirs sont remontés. La suite de notre journée, la rencontre avec l'inspecteur d'académie qui nous a ouvert l'école (fermée actuellement car trop petite, une autre est construite sur la route de St Cloud, mais il veut la rénover en y remettant la Cloche qu'il a précieusement précieusement conservée), son bureau avec quelques souvenirs.

Fleurus a bien grandi, de 1250 habitants ils sont maintenant environ 7500. Je termine ce petit tour de mon enfance en remerciant toutes les personnes qui nous ont accueillis, particuliérement Brahim Abdallah et Othmane, sans oublier Mohamed Ichou qui nous a fait partager son couscous. Un petit message pour tous ceux qui ont envie de revoir Fleurus : n'hésitez pas, vous en reviendrez heureux.

85. Christophe Campos Suite de la réponse au message 80 (15/11/12)

Corinne, voici comme promis les données que j'ai sur les Gérard à Fleurus jusqu'en 1918. C'est assez long, mais je pense que ce parcours est typique des familles qui essayent de faire une nouvelle vie en Algérie au XIXe et intéressera peut-être nos autres correspondants.

1. Louis Gérard est né c.1829 à Pexonne de Jean-François Gérard (manœuvrier) et de Marie Anne Poirel. Ses parents étant décédés (elle, originaire de Fontenay, en 1835, lui, remarié, en septembre 1847), Louis rejoint fin 1847 à Paris 6e (c'est à dire à l'époque les quartiers du Temple, de la Porte Saint-Denis et de Saint-Martin-des-champs - une partie du 3e arrondissement moderne) son oncle Jean-Pierre, qui est conducteur d'omnibus. Jean-Pierre se porte volontaire en septembre 1848 pour une concession en Algérie, et fait partie du 6e convoi (sur 18) qui quitte Paris le 19 octobre 1848 pour transporter quelques 840 colons, familles comprises jusqu'à Mers-El-Kébir, où ils arrivent le 16 novembre. Il y est accompagné par son épouse, Bibienne Flahaut (dite "Bibi"), leurs quatre enfants (Eugène, 11 ans, Charles 10 ans, Clémentine 6ans, et Clara 5 ans) et leur neveu Louis, qui a alors 19 ans.

Le sixième convoi est destiné surtout à peupler la nouvelle colonie de Fleurus, qui comprendra pendant vingt ans quatre centres annexes (Assi-Ben-Féreah, Assi-Ameur, Assi-Ben-Okba et Assi-Bou-Nif). Les Gérard sont dirigés vers Assi-Ameur, où l'oncle et la tante ont une concession temporaire. Louis, de son côté, trouve du travail à Assi-Bou-Nif. L'oncle et la tante meurent du choléra en 1850, suivis en 1851 par un nourrisson né en 1850, et qui a été recueilli par Louis, devenu chef de famille par défaut. Mais il semble qu'Eugène, Charles, Clémentine et Clara aient été par la suite rapatriés par l'administration militaire.

Les Lorrains, assez nombreux parmi les convoyés de 1848 et ceux qui ont pris le même chemin pendant la décennie suivante, ne se perdent pas de vue. Ainsi, en 1852, Louis Gérard épouse à Fleurus-centre Marie-Scolastique Martin, née en 1837 à Mignéville, à 7 kms de Pexonne. Le mariage a lieu quatre jours après le quinzième anniversaire de l'épousée. Il y a alors à Fleurus, à cause de la structure des familles immigrées, 8 filles nubiles et 24 hommes célibataires.

2. Le père de Marie-Scolastique, Joseph Martin, est né vers 1812 à Saint-Maurice-aux-forges (à 5 kms de Mignéville). Vers 1830, à peu près au moment où sa famille quitte Saint-Maurice pour vivre à Fraize (à 20 kms au sud-est) il s'établit à Mignéville, où il épouse Marie Antoinette Christine Boudot, qui y est née en 1809. Ils y ont cinq enfants : Jean Baptiste (1834), Marie Scolastique, (1837), Joseph Eugène (1839), Joseph (1841) et Emile (1845). En 1850, ils ont déménagé dans le bourg de Baccarat, à dix kilomètres au sud, plus prospère que Saint-Maurice, grâce à sa fabrique de cristal. Joseph y travaille comme cantonnier. De là, peut-être encouragé par un des Gérard, ou par quelqu'un à qui ils ont écrit de Fleurus, il demande une concession en Algérie, non plus dans le contexte des convois parisiens de 1848, mais selon des principes de sélection mieux ciblés. Son dossier est accepté, et lui et sa famille bénéficient d'un passage gratuit de Marseille à Oran avec accueil possible dans différents gîtes-étapes sur le chemin menant à Marseille.

3. Après leur mariage, Marie Scolastique et Louis Gérard se déplacent beaucoup. Ils sont à Sidi-Bel-Abbès, où Louis semble avoir acheté des terres après en avoir vendu à Assi-Bou-Nif, en 1856 au moment de la naissance de leur premier fils, Louis Eugène, puis à Fleurus (peut-être seulement pour l'accocuhement) au moment de la naissance d'un deuxième fils, Camille (qui, y nait en 1858, puis disparaît des archives). Puis ils s'établissent un temps à Oran, où lui se dit «commerçant» lorsqu'ils reviennent au village à l'occasion du mariage d'Emile, frère de Marie Scolastique, en 1864. On les retrouve en 1884 à Fleurus, où ils ont acheté de la terre, qu'ils mettent en vigne, probablement en collaboration avec le frère de Marie Scolastique, Jean-Baptiste Martin, devenu lui aussi vigneron au moment de la première floraison des vignobles de l'Oranie, le phylloxera sévissant en métropole. Ils auront constamment 4 hectares en vigne : à peine assez pour subsister, ils ont donc peut-être aussi cultivé des céréales. Louis est conseiller municipal de 1888 à 1893. De son côté, Louis Eugène contribue à l'économie familiale en se faisant bourrelier, à partir de 1888 et jusqu'à la mort de son père, Louis, en 1899. En 1900, leur vignoble atteint 11 hectares, sans doute cultivé à présent par Louis Eugène, qui en devient propriétaire après le décès de Marie-Scolastique en 1901.

4. Entretemps, Louis Eugène a épousé à Fleurus en 1896 Berthe Delphine Durand, née en 1876 à Saint-Maur (Tamzourah), situé à peu près à mi-chemin entre Sidi-Bel-Abbès et Fleurus (une quarantaine de kilomètres dans chaque sens). Elle est fille de François Durand, cultivateur, originaire de Teillet (Tarn) et de Marie Philomène Guichard, originaire d'Augea (Jura), mariés à Sidi-Chami (à 15 kms de Fleurus) en 1865. Lui est décédé au cours des années 1880, elle à Oran en 1892, si bien que Berthe Delphine, devenue orpheline, est placée sous la tutelle de l'Assistance publique d'Oran, qui donne son consentement au mariage de 1896. Du côté de Louis Eugène, les témoins au mariage sont ses cousins par sa mère, Léon et Emile Martin.

Louis Eugène et ses parents vivent depuis 1884 rue de Paris (la rue principale) au coin de la rue Buffon (l'îlot O du plan du village sur ce site) et c'est probablement dans le lot derrière que se trouve le matériel de bourrellerie, où Louis Eugène emploie au moins un ouvrier, Joseph Sicard (dont le fils Eugène a repris plus tard le "café du coin" en face de la mairie). A part la famille Martin, assez étendue, ceux-ci fréquentent au village les Picot, les Belmonte, les Beaudet. les Rodriguez, les Garcia, les Ros.

En 1897, Eugène demande une concession à Descartes, près de Bel-Abbès. Il se déclare agriculteur de vocation mais actuellement bourrelier en attendant de devenir agriculteur à plein temps. Il a de l'argent (il faut alors un capital minimum pour obtenir une concession), ainsi que 4 chevaux, une charette anglaise, 2 voitures et 4 charrues. Pierre Rabisse, maire, appuie cette demande, qui ne semble pas avoir abouti.

Berthe a donné naissance à deux filles, Blanche Marie (1898, décédée en 1967 à Nantes) et Louise Eugénie (1900). En 1902, la bourrellerie est reprise par Auguste Brès, et Eugène devient charretier, tout en poursuivant sa vocation de cultivateur. En 1911, il se dit "commerçant", et la famille a déménagé de l'autre côté de la rue de Paris (îlot U) ; il est probable que le commerce est une petite alimentation puis une mercerie tenue par Berthe, car le travail de vigneron augmente : en 1912 et jusqu'en 1918 son vignoble atteint 37 hectares, largement assez pour soutenir une famille. Mais Eugène semble avoir été un touche-à-tout. Il a même édité et vendu des cartes postales du village. (J'espère que vous en avez encore dans la famille et que notre site poura en profiter.)

Après 1918, rien à Fleurus. Je serais très intéressé de savoir ce qu'ils sont devenus par la suite.

82. Christophe Campos Réponse au message 81 (29/10/12)

Bonjour Hasseni, bienvenue sur le site.

Je suis d'autant plus heureux de savoir que votre père est en vie, que je l'ai rencontré plusieurs fois à Fleurus et, je crois, au Tlélat. Depuis l'arrivée de Lakhdar (?votre arrière-grand-père, je crois) vers 1898, ma famille, du côté des Lopez, a souvent travaillé avec la vôtre, aux plâtrières et dans les champs. Pour mon grand-père Antonio Lopez, Tayeb, qui avait à peu près le même âge que lui, était son "homme de confiance". On échangeait des gâteaux traditionnels au moment des fêtes, etc., et je crois que Tayeb avait repris la maison des Lopez (rue Campans, pas loin des écoles) quand les Lopez ont déménagé vers le coin de la route de Saint-Cloud. Hasseni (ou peut-être son frère) était encore en 1962 métayer de mon père Lucien Campos et de sa sœur Ginette (petitis-enfants d'Antonio) pour une dizaine d'hectares dont ils avaient hérité au Tlélat. Les miens n'ont jamais oublié la belle promesse de Hasseni au moment de prendre congé en 1962, "ne vous inquiétez pas, on essaiera de garder le terrain pour vous".

Les Fleurusiens adultes appréciaient tous les efforts faits par Tayeb puis par Larbi (élus chacun trois fois conseillers municipaux avant 1962) pour maintenir les meilleures relations possibles entre les communautés du village. Les enfants, de leur côté, appréciaient les sucreries qu'ils achetaient en sortant de l'école dans votre boutique. C'est très bien de reprendre ce contact. Mon meilleur souvenir à votre père !

81. Telli Hasseni (27/10/12)

Je suis le fils de Telli Hasseni ne en 1929, fils de Larbi habitant Fleurus depuis longtemps. Mon pêre est toujours vivant et aimerait savoir comment vont les anciens Fleurusiens. Nous habitons dans la maison des Kammerer. Ravi que quelqu'un me réponde. Merci, merci. Et si vous voulez des renseignements sur une famille qui habitait Fleurus mon père sera content de répondre.

80. Christophe Campos Réponse au message 79 (27/10/12)

Bonjour Corinne, bienvenue sur le site.

Je suis loin de mes dossiers en ce moment, mais je vous enverrai tout ce que j'ai sur votre famille dans deux ou trois jours, on ne sait jamais ce qui peut servir.

Je peux d'ores et déjà vous révéler qu'une des arrière-grand-mères de mon arrière-grand-père Lopez était Antonia Aznar, née vers 1780 à Crevillente. Alors, cousins ?

79. Corinne Asnard (26/10/12)

Bonjour à tous.

Je suis en train de faire mon arbre généalogique... Etant originaire d 'Algerie (je suis née en 1962), les archives manquent, il y a des trous... Je suis en tout cas l'arrière petite fille d'Eugène Gérard ,le bourrelier de Fleurus!!! Ma mère, née Carme, est toujours en vie et c'etait son grand père, mais il était décédé à sa naissance. Cela m'a fait plaisir de le voir cité dans vos commentaires.

Au plaisir de vous lire !

78. Marie-Claude Perrot-Sirjean (23/10/12)

Histoire de rompre le trop long silence, comme vous dites, de la période des vacances.

Désolée pour la famille de Laurent BOJ et, malheureusement, nous en apprenons souvent, de ces mauvaises nouvelles.

Un grand bonjour à tous les Fleurusiens et autres... et au plaisir d'avoir des nouvelles de chacun. 2013 ! certainement un nouveau retour aux sources pour moi car mes enfants veulent voir "mon Pays" ! projet en cours de construction.

Amicalement

77. Christophe Campos (15/10/12)

Cela me fait beaucoup de chagrin d'avoir à interrompre la (trop longue) trêve des congés pour annoncer le décès, il y a quelques jours à Nîmes, de Laurent Boj.

"Lolo" a bien connu le Fleurus des années 1930 et 1940 et y était très attaché, même s'il a quitté le village pour faire carrière dans la gestion des hôpitaux de l'Oranie. Il a été parmi les premiers à vouloir renouer avec des camarades de classe de Fleurus des deux bords lors d'une visite en 1986. La photo du mois de novembre (prise alors par lui et communiquée à d'autres avec sa serviabilité bien connue) sera, en sa mémoire, celle qu'il a prise du moulin de Fleurus lors de cette visite, avec un texte de lui.

Le tapuscrit qu'il a écrit et fait circuler après cette visite sur l'histoire de Fleurus a été l'une des inspirations de mon travail, ses encouragements aussi, et je ne regrette à présent que de n'avoir pu bénéficier de plus d'entretiens avec lui.

J'ai fait part à Mme Boj de nos condoléances collectives, mais son adresse à Nîmes est toujours acccessible sous le nom de Laurent par les "pages blanches".

76. Brahim Abdallah Réponse au message 74 de Denis Puech (19/9/12)

Bonjour Denis,

Le prénom m'avait échappé mais maintenant cela me revient. A l'époque du bon vieux temps, vous aviez une ferme modèle, avec tous les animaux que l'on pouvait imaginer, mais malheureusement elle a perdu tout son charme. Ces jours ci, quelqu'un est en train de faire la clôture en parpaings, dommage, vraiment dommage. Vous aviez une étable avec quelques vaches et celui qui s'occupait des vaches, c'était notre voisin, Ayad un Marocain.

Je voudrais savoir ce que tu fais aujourd'hui et quelle région tu habites.

A bientôt, Denis.

75. Jean-Marie Molina Réponse au message 73 (10/9/12)

Bonjour Christophe, tu parles d'Elise Molina, c'est la fille de Pierre, et donc ma sœur.

Toutes mes amitiés à tous.

74. Denis Puech (8/9/12)

Bonjour Brahim (et à tous les fleurusiens qui me lisent).

Excuses du retard, dû aux vacances ! Effectivement je me souviens de toi et de Telli Touhami et aussi, en vrac, de snp (je ne sais plus trop ce que cela signifie !), de Marcelin, du général boom boom! de Martinage, Belmonte, de Nicolas le maître d'école qui avait une épicerie, de Daniel Perez et de Hamadi qui habitait pas loin de la ferme de mes parents, à côté de chez Saez : près d'un puits qui en fait était un simple trou dans la terre rouge, on y avait trouvé des coquillages géants car la mer était là au crétacé, l'eau était très saumâtre.

Je me souviens aussi d'à peu près tous les Fleurusiens inscrits sur ce site, cela est si proche dans ma mémoire ! J'ai vu Fleurus sur google earth, et la ferme de mes parents ; je crois qu'il y a eu pas mal de changement mais c'est normal 50 ans après. J'ai entendu dire que les Duplan sont retournés à Fleurus, ils habitent pas trop loin de chez moi, je vais aller les voir.

J'envisage de revenir à Fleurus, mais si possible avec d'autres personnes, il faut organiser ce voyage. On te tiendra au courant, promis.

A bientôt, Denis.

70. Martine Laures-Oules Réponse au message 69 (6/8/12)

Je suis bien la petite fille de Gustave Rabisse, et effectivement il s'agit bien de Gilberte en communiante. Si je n'ai pas le même nom c'est que Gustave Rabisse n'a jamais voulu reconnaître mon père, qui est né le 25 décembre 1933 à Oran. Je sais qu'une des sœurs (?) était venue me voir lorsque je suis née. Le nom de Condomine vous dit quelque chose ? J'ai aussi des documents sur le passage en Algérie par bateau de la famille Rabisse.

Amitiés, Martine

65. Brahim Abdallah Réponse au message 62 (25/7/12)

Il me semble que ce serait raisonnable de revenir voir les endroits de sa jeunesse. Effectivement, Denis se rappelle Telli Touhami, on était de la même classe. Est ce qu'il se rappelle qu'un certain Abdallah Brahim a joué avec lui dans le jardin où se trouvaient les cages d'oiseaux et de reptiles ?

En ce qui concerne la ferme-maison des Puech, elle va changer de look, le nouveau propriétaire est en train de construire de grands murs.

Je voudrais savoir si Jean Luc Belmonte est dans ta région ou si tu as de ses nouvelles. Bien le bonjour d'un Fleurusien.

64. Christophe Campos Réponse au message 62 (15/7/12)

Merci, Denis, de ces précisions. Je pense que quand on s'est vu empoisonner toutes ses vaches, on a de bonnes raisons de participer à un Comité de salut public ! A moi d'apporter aussi des précisions sur l'histoire politique assez complexe de Fleurus en 1958. A la suite de divisions au sein de la Délégation spéciale nommée par le préfecture en février en remplacement du Conseil municipal élu l'année précédente, le président de cette Délégation, Gustave Rabisse, s'en est retiré. Les divisions au sein de la Délégation se retrouvant au village, une pétition a été envoyée par un grand nombre de Fleurusiens à la Préfecture demandant qu'il fût réinstallé dans ses fonctions. Ce qui a été fait. Cependant, dans l'envolée idéologique qui a suivi le putsch des généraux du 13 mai, un Comité de salut public a été créé au village sur l'inititative et sous la présidence de Marcel Puech, fonctionnant en parallèle avec la Délégation. Bien entendu, il en est résulté un désaccord encore plus net au sein de celle-ci, où Marcel Puech et Gustave Rabisse menaçaient l'un et l'autre de démissionner en emportant la majorité des membres. Chaque parti s'est plaint d'intrigues et de manigances à la Préfecture, laquelle a lancé une enquête, cependant que Gustave Rabisse, prétextant des ennuis de santé, déléguait temporairement ses pouvoirs à son deuxième adjoint Marcel Puech, qui a donc été maire et pas maire à la fois. Il y avait une atmosphère à la fois d'enthousiasme et de panique.

A l'occasion, j'aimerais en parler de vive voix à tes parents, s'ils ne veulent pas oublier ces années difficiles. Je t'enverrai une photo de la maison pour eux ; pour la ferme, je n'ai rien, et je ne sais pas si Gabrielle Galan, qui est passée à côté le mois dernier, l'a photographiée. Donne aussi le bonjour aux Duplan quand tu les verras. Je leur ai passé l'adresse de ce site, et ce sont peut-être des Fleuronautes muets, qui sait.

63. Viviane Gomez (13/7/12)

Mon père était conseiller municipal avec le maire Mr Rabisse Gustave, et ils étaient également très amis. Mr Rabisse venait souvent manger à la maison. Si vous voulez des photos de l'époque je vous les ferai parvenir. Je dois chercher dans mon grenier. Bien amicalement à toute l'équipe. Très heureuse de ce Forum !

62. Denis Puech Réponse au message 61 (35/7/12)

Bonjour Christophe, je vois que tu es bien renseigné et tes infos sont exactes. Mon père a acheté la ferme à Mr Lloret d'Oran (la date je ne m'en rappelle plus sûrement, début années 50). Il était le gendre de Frédéric Candela, qui avait une quaincaillerie 99 rue de Mostaganem à Oran. Il produisait des légumes (artichauts je crois) qu'il envoyait en métropole et avait aussi des vaches dont il vendait le lait. Malheureusement, toutes ses vaches ont été empoisonnées en 56 ou 57, et il s est ensuite reconverti dans l'élevage avicole (Elevage avicole de la ferme St Denis, le n° de téléphone etait le 05 à Fleurus)).

En 58 je pense qu il a été président du Comité de salut public (je n'en suis pas sûr) ou alors, comme tu le dis, il a été 2eme adjoint. Effectivement nous avions acheté une maison à Ledesma rte de legrand. Mes parents sont toujours en vie et ils aimeraient avoir des photos de leur ferme et maison.

J'étais à l'école de Fleurus avec Telli Touami. De mon côté je n ai jamais quitté l'Afrique, j ai travaillé sur les plates-formes en mer au Congo, au Gabon, au Nigeria, en Angola et aux Emirats arabes unis. je suis retourné travailler à Skkida (ex Orleansville) en 96 sur le terminal gazier mais l'ambiance etait tendue suite à la mort des moines de Tibherine, nous ne pouvions pas sortir en ville. Je revois de temps en temps les Duplan, qui habitent pas loin de chez moi.

Amitiés

61. Christophe Campos (réponse au message 60) (12/7/12)

Bonjour Denis, et bienvenue sur le site. Je te salue aussi en tant qu'autre ancien du Lycée Lamoricère.

Je crois me rappeler que tes parents avaient entre autres un élevage de volailles sur deux lots en bordure du chemin qui birfurquait vers la droite d'avec la route de Saint-Cloud à un petit kilomètre du village. Et vous aviez acheté une maison sur la route de Legrand aux Ledesma ? N'y avait il pas aussi un élevage de vaches dans le même secteur ?

Selon les archives, Marcel Puech a été 2e vice-président (l'équivalent de 2e adjoint, le premier étant Lechlech Nouba) de la Commission spéciale nommée par la préfecture en 1958 lors de la dissolution des conseils élus - pendant trois mois sous la présidence de Gustave Rabisse, puis sous celle de Joseph Mendiéla.

60. Denis Puech (12/7/12)

Mes parents avaient une ferme pres de chez les Galan, et aussi une maison à la sortie du village vers St Louis. Je suis allé à l'école de Fleurus avec pour instituteurs Mr et Mme Teillier, Defoly, Nicolas, Martinez. Ensuite je suis allé au Lycée lamoricière à Oran. Mon père a été maire (ou 1er adjoint) après Gustave Rabisse.

59. Josette Diaz (11/7/12)

J'ai trouvé ce site très intéressant. Je ne suis pas de Fleurus, mais je suis mariée à un Fleurusien, René Diaz, fils du coiffeur de Fleurus. A la lecture des messages beaucoup de noms m'ont paru familiers car mon époux parlait beaucoup de son village. Bon courage.

58. Viviane Gomez (8/7/12)

Tellement heureuse de tomber sur ce site au pur hasard ! Je suis de Fleurus, née en 1946, j'ai fréquenté l'école primaire avec Mme Defoly, Mme Teillé, Mme Folacci. Mon père était conseiller municipal avec le maire Mr Gustave Rabisse.

En 2007 je suis retournée à Fleurus, j'ai pû voir ma maison "où je suis née" (c'était la menuiserie qui appartenait à mon père Julien Gomez). Les nouveaux propriétaires m'ont invité à manger le couscous chez eux, ainsi qu'un autre couscous dans la maison de Mme Ruiz, mes voisins. Je suis allée à l'école, je suis rentrée dans une classe avec les élèves et l'instituteur, à la mairie, à l'égise qui est devenue une annexe de la mairie, à la station Total qui appartenait à mon oncle, Antoine Bonilla.

Je suis aussi rentrée à l'épicerie de Mme Perez et celle de l'épicier Nouba (80 ans, non voyant) puis au cimetière, où tout est détruit. Le jardin petit Vichy est devenu un restaurant. J'ai éffectué le trajet à pied depuis ma maison jusqu'à l'école, et le tour du village.

Le 17 mai dernier je suis allée à Santa-Cruz à Nîmes, et il n'y avait plus le pannau Fleurus, de ce fait il est très difficile de se reconnaitre.

57. Christophe Campos réponse au message 56 (7/7/12)

Bienvenue sur le site, Martine. Vous avez peut-être remarqué que votre cousin, Hugues Marty (message 34) a entrepris un projet semblable au vôtre.

A peu près tous les Fleuronautes ont connu, directement ou de réputation, Gustave Rabisse, dernier maire de Fleurus, domicilié en effet après l'exode à La Seyne-sur-Mer, mais décédé, si je ne me trompe, en 1972 à Aix-en-Provence.

Des renseignements sur la famille Rabisse, il y en aura à foison dans mon livre, car c'est une des principales familles fondatrices, qui été la dorsale du village à partir de 1870. Par exemple, vous avez peut-être remarqué sur ce site que le morceau choisi du mois de julllet (rubrique Livre) se trouve être en majeure partie écrit par un autre Gustave Rabisse (grand-oncle de votre grand-père), chroniqueur des premières années du village.

D'ici la publication de mon livre, je suis tout à fait disposé à répondre aux questions que vous voudriez me poser par le canal tam-tom. Les autres Fleuronautes y répondront sans doute aussi si vous voulez bien les préciser sur ce Forum.

Nous sommes avides de photos sur le site. Si celle de votre belle-tante est une photo de groupe, pourrions-nous l'afficher ?

56. Martine Laures-Oules (7/7/12)

Je suis descendante de Gustave Rabisse, père de mon père Gustave Laures-Oules, donc mon grand-père. J'ai une photo datée de 1935 de la demi-sœur de mon père, Gabrielle Rabisse, habillée en communiante.

J'écris une histoire de ma famille destinée à ma fille et à ma nièce. Quelqu'un d'entre vous pourrait-il me donner quelques renseignements ? Il semblerait que mon grand-père soit décédé à La Seyne-sur mer.

Merci d'avance pour votre aide.

55. Marc Diaz (7/7/12)

Bonjour, je suis fils de René Diaz et petit-fils du coiffeur Diaz... et père de Diaz Vincent (12 ans 1/2).

Très joli site sur Fleurus, que mon père aimait tant, et merci pour ce mot gentil pour mon oncle François Diaz.

Bien à vous.

51. Danielle Vivier et Jacqueline Coste (sœurs Diaz) (5/7/12)

Nous sommes des descendantes de Fleurusiens (familles Diaz, Kammerer, Vidal).

Nous avons avec un grand plaisir visité le site, et aimerions apporter une petite rectification concernant les photos de l'équipe de foot. Le joueur prénommé Pierrot Garcia est en fait Pierre Diaz, le frère de notre père, Antoine Diaz, marié avec Lydie Kammerer (sœur de Paulette Vidal actuellement à Aix-en-Provence et filles de la fameuse cuisinière qui aidait les particuliers à tuer le cochon et à préparer la charcuterie).

Merci pour la bonne initiative, qui nous rappelle bien des souvenirs. Nous sommes allées à Fleurus en 1958 pour la dernière fois, car nous habitions à Merchouch, au Maroc.

P.S. Nomenclature corrigée, merci, dans la version disponible dans l'Album. (Christophe)

47. Pascal Hinojo (18/6/12)

Merci Christophe pour ton invitation à découvrir le site de Fleurus (Algérie), qui m'a fortement intrigué et beaucoup intéressé.

J'ai lu avec intérêt les commentaires de Marie-Claude Perrot (Sirjean), que j'ai un peu connue, parce que je me souviens qu'elle était l'élève de ma tante, Marguerite Fernandez, institutrice à Fleurus, chez qui j'ai séjourné durant toute l'année scolaire 1958/59. Passe le bonjour à Marie-Claude, et communique-lui mes coordonnées si elle souhaite me contacter.

Avez-vous des nouvelles de la famille Folacci ? J'étais copain avec le plus jeune des fils, qui était de 1949 aussi, je crois, ou de 1950.

Natif d'El-Ançor, j'ai depuis 2007 contacté tous les exilés de mon village... Nous avons créé une association que je préside, "El-Ançor Terra Nostra, et nous nous retrouvons, avec un immense bonheur, chaque année au printemps, durant tout un week-end, au Cap d'Agde, pour évoquer notre passé.

El-Ançor est ma tasse de thé, que je déguste à petites gorgées tous les jours, avec beaucoup de plaisir, mais Fleurus est une jolie madeleine qui accompagne cette dégustation, et qui me rappelle les bons souvenirs d'un trop court séjour qui a bien marqué mon enfance.

34. Hugues Marty (16/5/12)

Bonjour à tous.

Un grand bravo à Christophe pour la création de ce site et son travail de recherche !

Je suis descendant de la famille Rabisse, qui a quelque peu "monopolisé" la mairie de Fleurus pendant quelques générations. Je suis ravi de trouver des informations sur ce village, dont ma grand-mère, fille du dernier maire français, nous parlait tant dans ma jeunesse. SI certains ont des souvenirs ou des anecdotes à propos de Gustave Rabisse ou de sa famille, je serai ravi de les lire.

Cordialement

32. Arlette Guttierez - Samaran (9/5/12)

Bonjour,

je suis née à Fleurus en 1958, (ma mère était une fille Schmaltz), et je suis ravie que l'on parle du village de ma naissance, n'en ayant aucun souvenir. Que vos recherches soient fructueuses.

Cordialement

30. Gabrielle Galan (5/5/12)

Réponse à Brahim Abdallah (message 28)

Je vous remercie de me donner des nouvelles de mon ancienne maison. Je suis née en 1946 et j'ai fait toute ma scolarité primaire à Fleurus, chez Mme Defoly, Mlle Ferry et Mme Teillet, puis en effet j'ai continué mes études à Oran. Le weekend et les vacances je les passais toujours à la ferme. Celle que vous avez vu faucher la luzerne était certainement ma sœur aînée Michèle. Moi, j'étais moins physique, mais j'étais souvent dans les champs, notamment pour surveiller les vaches. Vos souvenirs sont donc bons.

A bientôt.

27. Gabrielle Galan (30/4/12)

C'est avec un immense plaisir que j'ai découvert votre site et vous remercie de tout cœur.

Je suis née à Oran et suis venue vivre à Fleurus en 1952. Nous vivions dans une petite ferme achetée par mon père, Marc Galan, à Mr Tribaudeau après la guerre de 1940.

Maintenant j'aimerais m'adresser à Bramin Abdallah. Peut-il se renseigner pour me dire si la ferme que j'habitais existe toujours, et si c'est le cas si je pourrai la revoir ? Pour aller à la ferme il faut prendre la direction de Saint-Cloud, au niveau de l'ancienne cave Poumeyrol prendre à droite, continuer tout droit sur 500m environ, prendre à gauche (en contournant l'ancienne ferme Puech). Sur la droite il y avait une ferme habitée par une famille musulmane, nous étions juste après. Sur un côté, le canal longeait la ferme, ainsi qu'un chemin qui menait à la ferme Boudali. Je joins un plan pour plus de clarté.

Amitiés à tous les Fleurusiens.

19. Marie-Claude Perrot, née Sirjean (16/4/12)

Réponse à Brahim Abdallah et à Mohamed Ichou (messages 15 et 18)

Bonjour à tous !

Je suis Marie-Claude Sirjean (épouse Perrrot) née à Fleurus en 1949, et j'habitais en face de l'église.

Je retourne enfin en Algérie avec mon mari et des amis fleurusiens, du 5 au 9 juin prochains, et j'aimerais entrer en contact avec vous afin de pouvoir revoir "ma maison", et si possible y rentrer. Si quelqu'un se souvient avoir travaillé pour la ferme chez mes parents, Roger et Jeanne Sirjean, cela me ferait plaisir de les rencontrer, ou leurs enfants, mais je ne me souviens pas des noms.

Mon oncle Edmond Beaudet (le "châtelain") était le demi-frère de ma mère. Nous devons également aller à Fornaka, d'où était mon père, et à Mostaganem

Amitiés à vous tous, et au plaisir d'avoir des nouvelles pour les deux qui sont "sur place".

18. Mohamed Ichou (14/4/12)

Né en 1945 à Fleurus, habitant maintenant à Gdyel (ex-Saint-Cloud), je suis heureux de participer à votre site.

J'ai été élève de messieurs Weber, Defoly et Assié. Je me propose pour aider quiconque pour des photos ou renseignements concernant leur enfance à Fleurus ou dans les villages environnants.

Fraternellement.

11. Christophe Campos (9/3/12)

Fernand Ruiz et sa fille Yolande me font remarquer, et ils ont raison, que le site est pauvre en images. Quelqu'un qui, comme lui, ne posséderait pas de photos du village, aimerait en retrouver ici.

Je pense donc créer une nouvelle rubrique "Village en images", où il y aurait une "image du mois" qui pourrait faire l'objet de commentaires dans le Forum, et qui serait archivée dans un "Album photos" avec un abrégé des commentaires. On commencerait en avril. Ma collection de photos n'est pas inépuisable, et peut-être y aurait-il parmi nous des correspondants qui pourraient en proposer. Il faudrait alors me contacter par tam-tom@fleurusalgerie.fr pour le préciser et voir si je ne les ai pas déjà, puis soit les scanner soit me les prêter (rendus par retour de courrier promis juré, foi de Fleurusien...)

Noter que les clichés les plus intéressants pour les autres visiteurs du site ne sont pas ceux du genre "moi en barbotteuse" ou "ma sœur en robe de communion", c'est à dire la majorité des photos conservées dans les familles, mais des images faisant clairement apparaître (même en association avec moi en barbotteuse) des lieux du village ou des environs - maisons, monuments, lieux publics - ou des images de groupe où plusieurs personnes sont identifiables (même en robe de communion ou en tenue de football), ce qui permettrait aux correspondants du Forum d'aider à les identifier, donc pratiquement à les cyber-immortaliser, puisqu'on nous dit que rien ne se perd sur internet.

 

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